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Comment devenir un monstre

Fiche descriptive
Séquence didactique
Annexes
Comment devenir un monstre
BARBE, Jean
Par Jean-Nicolas Côté Potvin


Nationalité de l'auteur : Québécoise
Genre : Roman
Courant :
Siècle : 21e siècle
Groupe d'âge visé : Deuxième cycle secondaire
Auteur de la séquence : Jean-Nicolas Côté Potvin
Date du dépôt : Hiver 2013


Justification de l’oeuvre choisie

            Comment devenir un monstre[1] est un roman de guerre qui mêle aventure, suspense et humanisme. L’auteur Jean Barbe nous fait comprendre comment des circonstances tragiques peuvent pousser un homme ordinaire à commettre des actes monstrueux. La situation délicate de guerre civile qui bouleverse la vie des personnages du récit nous incite à changer notre jugement sur ces crises politiques et sociales. Une analyse en profondeur des circonstances de guerre de ce récit amènera les élèves à porter un nouveau regard sur des évènements semblables dont on traite couramment dans les médias. Le contexte réel et actuel du récit permettra aux élèves de donner un sens à leurs apprentissages[2] et de mettre à distance leur compréhension[3] des problèmes de lecture.

           

Identification des problèmes à résoudre

            Comme la compréhension des enjeux sociopolitiques du roman demande de bonnes connaissances culturelles internationales, cette séquence s’adresse à des élèves de cinquième secondaire, ce qui nous permettra d’organiser un débat en classe. Les élèves devront d’abord arriver à faire la synthèse des évènements de guerre. Ils vont ensuite devoir les associer aux changements psychologiques du monstre, Viktor Rosh. Les élèves devront finalement se faire défendeurs ou accusateurs à la manière d’un procès. Pour arriver à prendre position sur de tels enjeux, les élèves auront à bien cerner les circonstances dans lesquelles a évolué le monstre et à bien les associer à ses agissements.  

 

Avant la lecture

Activité 1 – Abord du sujet

Avant de présenter le roman, l’enseignant fait faire un travail d’introspection dans le but d’aborder le sujet des personnages sinistres du monde. Il cherche à savoir ce que les élèves imaginent être un monstre. Il peut faire remarquer aux élèves qu’ils rattachent surtout au mot une image fantastique. Cet exercice permet à l’enseignant de soulever le sujet d’un autre type de monstre, le monstre quand il est humain. Pour appuyer ses propos, il peut peindre le portrait d’un criminel de guerre dont on parle dans l’actualité. Il demande ensuite à la classe si les comportements de ce dernier s’expliquent ou se justifient. Leurs réponses seront réutilisées en fin de séquences pour voir l’évolution de leur conception des criminels dangereux.

Ensuite, pour guider la lecture des élèves, l’enseignant fait une description de l’auteur qui démontre bien que Jean Barbe est un progressiste engagé dans des causes humanistes. L’enseignant montre ainsi que les monstres seront présentés sous un différent point de vue, puisque l'auteur a tendance à soutenir une opinion différente sur des sujets controversés. Pour rendre la lecture encore plus signifiante, il est bon de mentionner que Jean Barbe s’est grandement inspiré de la guerre en Bosnie.

 

Pendant la lecture

Activité 2 – Les procédés linguistiques utilisés

            Pour que les élèves arrivent à bien cerner l’intention de l’auteur et à bien interpréter le sens du texte, un travail d’analyse sur la langue doit être fait. Les élèves ne réalisent pas automatiquement comment un procédé linguistique sert à montrer une opinion. Souvent, dans ce roman, Jean Barbe utilise différentes figures de style pour bien faire comprendre l’état psychoaffectif du personnage ou l’impétuosité de la guerre, deux éléments essentiels pour bien comprendre le sens que veut donner l’auteur au récit.

Une fois que les élèves ont lu les trois premiers chapitres, l’enseignant fait un retour sur le premier en le lisant à haute voix. Cette lecture permet de faire vivre l’histoire, de faire comprendre l’intention narrative et d’engager les élèves[4]. On comprend bien dans ce chapitre qu’on fait une brève intrusion dans la vie du monstre. On prend connaissance de son caractère et de son état d’esprit pendant qu’il est un soldat de la rébellion. Le monstre y est décrit comme un soldat sanginaire. L’enseignant profite de cette lecture commune pour initier les élèves aux procédés linguistiques utilisés par l’auteur pour imager son récit. Quand l’enseignant survole un passage imagé dans le chapitre, il prend le temps de demander aux élèves ce que l’auteur peut vouloir dire et quel procédé linguistique a été utilisé.

Une fois la lecture terminée, l’enseignant demande aux élèves quels effets ces passages ont sur le texte. Il peut leur faire remarquer que les métaphores utilisées (cracheurs de feu pour les fusils, monstres pour combattants, et les fleurs rouges pour les taches de sang) permettent à l’auteur de montrer comment la guerre rend les combattants déconnectés de la réalité.

Pour s’assurer que les élèves ont bien saisi comment remarquer les procédés linguistiques et qu’ils comprennent leur utilité, l’enseignant leur demande de retracer le plus de passages imagés possible dans les pages 31 à 35. En équipe, ils recueillent dans une grille les passages imagés, leur signification et les procédés utilisés. En groupes, les élèves partagent ensuite leurs trouvailles et expliquent leur raisonnement. Le tableau suivant, qui peut servir de modèle, donne des exemples de réponses.

 P.    Passages imagés          Signification  Procédé linguistique utilisé
 32 Elles rabotaient la planche mais craignaient la caresse comme si c’était moi qui était plein d’écharpes. Comme si on considérait que sa peau était plus rude qu’une planche. Comparaison
32 Poussé par de tels encouragements Les parents le décourageaient par leur constant négativisme. Ironie
33 un trou noir qui lavait la vaisselle Il absorbait tout ce qui lui tombait sous la main. Métaphore
33 je voyageais Le plaisir qu’il a dans les cuisines le transporte. Métaphore

Activité 3 – Les évènements de guerre

            Puisque les événements de guerre du récit sont majoritairement responsables des bouleversements psychoaffectifs du monstre, les élèves auront à les étudier. Il est intéressant de demander aux élèves d’analyser les circonstances de la guerre civile afin de les initier à ce sujet qui fait souvent l’actualité. Ils pourront ainsi en déduire qu’une situation de guerre se complexifie facilement. Pour les aider à organiser leur pensée, l’enseignant demande aux élèves de remplir une ligne du temps qui rassemblera toutes les informations qui brossent le portrait de la guerre du récit. Tous les éléments devront être pris en note en respectant leur suite chronologique sur une feuille lignée. Par exemple, les élèves prennent en note chacune des attaques des troupes rebelles ou de l'armée. 

         Il est important de s’assurer que les élèves distinguent bien les deux fils narratifs (la narration de l'avocat et la narration du monstre) pour placer les évènements dans le bon ordre. Cette collecte d’information permettra d’écrire, en fin de lecture, un article journalistique.

Activité 4 – Évolution psychologique

Il est très important que les élèves comprennent que le monstre en vient à commettre de sang-froid des actes sadiques en raison de la multitude de bouleversements émotionnels qui l’ont traumatisé. En s’intéressant à l’évolution psychologique, les élèves pourront comprendre que le but du livre est de montrer comment des circonstances bouleversantes peuvent faire naitre des monstres. Pour arriver à relier les évènements de guerre aux profils psychologiques du personnage, les élèves auront à observer son évolution psychoaffective tout au long du récit. Dès le début de la lecture, une grille est fournie aux élèves pour les guider dans leur recherche. Elle est divisée en fonction des évènements qui ont bouleversé la vie du monstre et demande de courtes descriptions de différents aspects de sa vie. Il serait préférable, pour guider les élèves, de laisser remplie la colonne d’âge. Ils pourront ainsi mieux retracer les éléments essentiels. Pour aider les élèves, l’enseignant peut faire les trois premiers points, qui se situent dans le troisième paragraphe en le relisant à voix haute.

Période de vie  État psychologique  Mode de vie  Évènement bouleversant qui change sa vie 
 0 à 12 ans Timide, idolâtre son frère, méprise ses parents Vie tranquille à la maison. Il suit son frère Il fait une chute à l’observatoire alors qu’il accompagne son frère.
12 à 14 ans Renfermé sur lui-même Vie tranquille à la maison sans son frère Il trouve un emploi stimulant dans un restaurant. 
14 à 18 ans Heureux, rêveur Il travaille beaucoup et étudie sérieusement. La crise économique frappe le pays et il est forcé au chômage.
18 à 22 ans Pessimiste, triste, renfermé sur lui-même Il travaille, économise beaucoup. Vie solitaire Il est engagé à la scierie.
22 à 27 ans Très heureux, optimiste, amoureux, passionné par la région Il travaille à la scierie et jouie de la vie en région. La scierie ferme et Maria le rejoint.
à 27 ans Amoureux et déconnecté Isolé avec sa maitresse Maria l’abandonne et l’armée envahit la ville.
à 27 ans Très triste, renfermé, désespéré Il s’enferme seul chez lui. Il s’engage dans l’armée rebelle.
27 à 33 ans Vengeur, solidaire, violent Soldat de la rébellion Son meilleur ami meurt et il déserte l’armée rebelle.
à 33 ans Triste Isolé en forêt Il est arrêté par l’armée.
33 ans à sa mort Frustré, plein de remords, muet Emprisonné Il s’enlève la vie.

Avec de telles explications, les élèves risquent de mieux comprendre personnage principal et ses états. Il serait intéressant de demander fréquemment l’avis des élèves sur la réaction de Viktor Rosh aux évènements. Par exemple, auraient-ils aussi pris les armes pour défendre leur région?  

Activité 5 – Rédaction d’un article journalistique

Avant de commencer le travail sur le débat, il est important de s’assurer que les élèves ont fait les liens entre le portrait psychologique du personnage et le climat de guerre qui règne dans le pays. Dans un article journalistique, les élèves auront à se mettre dans la peau d’un journaliste qui décrit la guerre dans le pays où évolue l’histoire. Le sujet central de leur rédaction sera l’arrestation du monstre, mais elle devra être décrite en lien avec la guerre. L’écriture d’un article journalistique demande aux élèves de bien organiser leur conception de la guerre du récit.

Consigne : Mettez-vous dans la peau du personnage principal, l’avocat Maitre Chevalier. Vous décidez de vous faire journaliste de guerre, le temps d’un article. En vous adressant à la population québécoise dans le journal La Presse, vous faites une rapide description des évènements de guerre entourant la vie du monstre pour montrer aux yeux du monde les circonstances entourant son arrestation. Vous devez vous baser sur votre ligne du temps qui rassemble les éléments de la guerre qui fait rage dans le roman. Vous disposez d’une période et demie pour rédiger votre article de 300 mots. 

 

Activité 6 – Procédés argumentatifs et initiation au débat public

            Avant de commencer le débat en classe, il est nécessaire de réactiver leurs connaissances des procédés argumentatifs[5] et de les initier au genre grâce à la présentation d’un extrait vidéo.

            L’enseignant présente d’abord l’extrait d’un débat dans lequel on retrouve plusieurs caractéristiques de ce genre. Le débat des chefs en vue des élections québécoises de 2012 peut être fort utile[6]. L’analyse du segment de la dixième à la quatorzième minute suffit pour déterminer les caractéristiques du genre et aborder les procédés argumentatifs. Une fois une première présentation faite, en questionnant les élèves, l’enseignant recueille leurs premières impressions et commence à établir les caractéristiques propres au débat public. À ce moment, il est primordial que l'enseignant fasse remarquer aux élèves que, contrairement aux débats publics sincères, les participants débattent dans l'unique but de convaicre les téléspectateurs. Les débateurs cherchent simplement à imposer leur vision des choses sans considérer le point de vue adverse.

1)      Qui étaient les participants et sur quel sujet débattaient-ils?

Jean Charest et Françoise David débattent sur la condition  féminine au Québec

2)      Quelle était la position de chacun?

Contrairement à Mme David, Jean Charest affirme que les femmes sont bien soutenues.

3)      Quel est le but de leur débat?

En vue des élections, ils veulent convaincre les Québécois qu’ils soutiennent les femmes.

4)      Quels rôles ont joués les modérateurs?

Les modérateurs ont annoncé le face-à-face et ont fait respecter le temps.

 

Un second visionnement en segments permet d’analyser en profondeur l’argumentation. L’enseignant doit interroger les élèves après chaque prise de parole des débatteurs pour aider les élèves à bien repérer chacun des aspects des discours.

1)      Quel argument et quel procédé le débatteur a-t-il utilisés?

Grâce à la réfutation, Mme David affirme que la condition des femmes pourrait être grandement améliorée.

2)      Est-ce que le débatteur s’est bien exprimé? Pourquoi?

Oui. Son discours était clair, son vocabulaire précis et sa gestuelle adaptée.

3)      Est-ce que le débatteur a respecté son adversaire? Pourquoi?

Oui. Elle attend que M. Charest ait terminé de parler et le laisse reprendre la parole.

Une fois les connaissances sur l’argumentation réactivées, l’enseignant peut faire une série d’exercices pour s’assurer que les élèves sont à l’aise avec la réfutation, qui est très importante lors d’un débat. Il énonce un certain nombre d’affirmations auxquelles les élèves doivent répondre en respectant les quatre étapes suivantes : reprendre ce qui a été dit, montrer son opposition par une formule, exprimer sa propre position et appuyer ses propos avec un argument[7]. Les élèves, sachant bien utiliser la réfutation, pourront bien s’interposer dans le débat.

           

Activité 7 – Le débat public : procès de Viktor Rosh

Cette évaluation formative doit être faite juste avant de connaitre le dénouement, soit juste avant la lecture du dernier chapitre qui raconte le sort du monstre. Elle permettra à l’enseignant de savoir où en sont les élèves avec l’argumentation avant de donner une éventuelle évaluation sommative. Une fois que les élèves auront bien établi les circonstances dans lesquelles évoluent la guerre et les personnages, ils auront à confronter leur point de vue sur une question controversée. Viktor Rosh est-il responsable de ses actes? Cette extériorisation par le dialogue demande aux élèves de mettre leur conception du contenu à distance et de mieux l’intérioriser[8].

Sans respecter toutes les caractéristiques propres à un procès qui compliqueraient le débat, les élèves auront à débattre devant un jury pour le convaincre du sort de Viktor Rosh. L’enseignant demande à la classe de se séparer en trois groupes en fonction de leur position sur la question. Un groupe de défendeurs, un groupe d’accusateurs et un autre de jurés. Les deux groupes de débatteurs établissent un certain nombre d’arguments appuyant leur position. Une fois les arguments choisis, l’enseignant demande aux groupes de se séparer en sous-groupes. Chacun d’eux choisit un argument qu’il aura à défendre à la barre face à un sous-groupe adverse. Ainsi, tous les élèves auront la chance de se présenter et de participer au débat. Les débatteurs énoncent leur argument en expliquant bien ses fondements et ceux qui leur font face auront à leur répondre. Une fois que tous les sous-groupes se seront présentés à la barre, le jury pourra délibérer et donner un verdict en s’appuyant sur ce qu’ils ont vu. Pour que l’enseignant n’influence pas les élèves, un modérateur est nommé pour animer le débat.

Une bonne préparation est primordiale dans ce débat. Les élèves doivent d’abord faire un travail de recherche pour choisir les meilleurs arguments. Ils ont ensuite à anticiper les arguments susceptibles d’être utilisés par leur adversaire pour pouvoir leur répondre. Chacun des sous-groupes doit bien maitriser tous les contre-arguments potentiels, puisqu’ils ne savent pas ce que le sous-groupe adverse apportera. Pendant cette recherche, l’enseignant en profite pour bien expliquer la grille d’évaluation au jury.

Le jury doit, lui aussi, être séparé en sous-groupes pour faire une écoute active du débat. Ce sont ses membres qui décideront du verdict en se basant sur leur évaluation du débat. Chacun des sous-groupes aura à évaluer un élément précis du discours des débatteurs. Une rotation devrait être faite pour permettre à tous les membres d’observer chacun des éléments. Une grille permettra de prendre des notes sur la performance de chacun des sous-groupes de débatteurs et de leur attribuer un résultat. Le jury aura à analyser la qualité de l’argumentation, la qualité de l’expression orale et le respect des règles du débat. La performance du modérateur doit aussi être évaluée. Il est important que les jurés prennent des notes précises sur les éléments du discours pour qu’ils puissent se justifier pendant la délibération. Cette grille permettra aussi aux débatteurs de bien se préparer en fonction des exigences évaluées qui y sont clairement établies. Un exemple de grille d’évaluation est placé en annexe. Elle peut être modifiée par l’enseignant s’il veut insister plus particulièrement sur certains points.

 

Après la lecture

Activité 8 – Discussion sur l’appréciation globale

            Une fois le débat terminé, l’enseignant lit à haute voix le dernier chapitre qui raconte le suicide du monstre et le retour au pays de Maitre Chevalier. Une fois la lecture terminée, avant de faire un retour sur la mise en contexte du premier cours, l’enseignant peut demander aux élèves de lui faire part de leur appréciation. Il est aussi important de leur demander s’ils sont étonnés du dénouement de l’histoire en leur demandant de s’expliquer. Il leur demande ensuite ce qui a pu pousser le monstre au suicide selon eux. Le suicide du monstre montre bien que les remords le hantaient. Un lien avec l’image de couverture peut être fait, puisqu’on y voit un homme éprouvé par la culpabilité et le remord. L’enseignant peut alors redemander aux élèves si les agissements d’un monstre peuvent être justifiables ou explicables. Le travail sur le texte aura permis aux élèves de réaliser comment des évènements affreux peuvent bouleverser un homme jusqu’à le rendre monstre.

 
Annexe
Éléments à analyser  Accusateurs  Défendeurs  Note 

Qualité de l’argumentation

  • Arguments utilisés(fondés, variés et pertinents)
  • Prise en compte des arguments adverses
  • Maitrise des procédés argumentatifs
  • Modalisation du discours
    /40

Qualité de l’expression orale

  • Clarté du discours(Formulation, Lexique)
  • Qualité des éléments prosodiques (Débit, Articulation et Intonation)
  • Gestuelle posture et contact visuel
    /40

Respect des règles du débat

  • Temps alloué
  • Tour de parole
  • Politesse
  • Respect du thème
    /20
 

Modérateur

  • Présenter le débat
  • Énoncer les règles
  • Faire respecter le temps
  • Donner le droit de parole
  • Faire respecter le thème
  • Être neutre
  • Clore le débat 
                                                                    /10


[5] MELS, Programme de formation de l’école québécoise : enseignement secondaire deuxième cycle. Québec : gouvernement du Québec. [en ligne]. http://www.mels.gouv.qc.ca/sections/programmeformation/secondaire2/index.asp?page=langues [Document consulté le 18 février 2013].

 

[6] Radio-Canada, « Débat des chefs 2012 », [en  ligne].  www.youtube.com
http://www.youtube.com/watch?v=s7JEoruJNtg [Vidéo consultée le 23 avril 2013].

 

[7] Joaquin Dolz, Michèle Novarraz et Bernard Schneuwly, S’exprimer en français : séquence didactique pour l’oral et pour l’écrit,  Vol. IV, Bruxelles,  De Boeck - Corome, 2001, p. 295.

[8] Mario Moisan, «Valoriser la discussion pour raviver la communication orale», Québec français, 2000, 118, p. 36.




[1] Jean Barbe, Comment devenir un monstre, Montréal, Leméac, 2004, 332 pages.

[2] Érick Falardeau et Denis Simard, La culture dans la classe de français : témoignages d’enseignants, Presse de l’Université Laval, Québec, 2011, p. 189.

[3] Ibid. p.198.

[4] Jean-Louis Dufays, Louis Gemenne et Dominique Ledur, «Favoriser l’appropriation vocale et imaginaire des textes», dans Pour une lecture littéraire : histoire, théories, pistes pour la classe, 2e édition, Bruxelles, De Boeck, 2005,  p. 200.


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